J’ai testé : l’Escape Game

Il y a tout juste une semaine, je n’aurais jamais pensé vous faire un article de la sorte. Mais ça, c’était avant que je retrouve ma meilleure amie aux idées de sorties sortant des sentiers battus.

L’Escape Game : Kesako ?
Ce concept nous vient, non pas des Etats-Unis, mais du Japon ! Ce sont les premiers à avoir créé des simulations grandeur nature de jeux électroniques d’évasion. A partir de 2010, les escape game pullulent à Hong Kong, en Angleterre, aux Etats-Unis et en France (particulièrement friande de ce type d’attractions).

Alors concrètement, on fait quoi lors d’un escape game ? 
Le but, c’est de sortir de la salle dans laquelle t’as été enfermé en résolvant toutes les énigmes dans le temps imparti. Et tu ne peux y échapper que par la force de tes neurones et non celle de tes biceps. Dans un escape game, on peut jouer de 3 à 5/6 personnes, histoire de combiner les idées de chacun, mais il faut vraiment avoir un esprit d’équipe, sinon il est vite facile de se noyer dans les infos ou d’en perdre. La communication est primordiale.
Dans la plupart des escape game, on reçoit des indices de temps à autres pour éviter de sécher complètement. Bénissez ces moments, d’ailleurs.

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  • Le patient de la chambre 8Epsilon Escape

« Début des années 90 : Edmond Epsilon passe quelques mois dans le département psychiatrie de la clinique Sinople pour y développer ses techniques de soins.
Il rencontre le patient de la chambre 8, qui lui inspirera un processus unique lui permettant de s’évader.
Votre expérience commence au coeur de cette clinique. À votre tour, vous devrez utiliser la méthode d’Epsilon pour vous échapper. »

http://epsilonescape.fr/

C’était une très bonne première expérience. Quand vous passez la porte d’entrée, vous changez immédiatement d’atmosphère; l’ambiance d’accueil est très travaillée : décors à la fois épurés, un peu baroques avec un certain sens du détail et de mystère
On vous propose une collation avant de commencer le débrief.

Selon moi, cet escape game peut largement se faire à 3 personnes, sinon on finit par se marcher dessus. Les décors étaient vraiment très réalistes, on était complètement immergés dans le délire, c’était vraiment agréable d’évoluer à l’intérieur. Je le vous recommande chaudement, le travail accompli sur cet escape game vaut réellement le détour. Même si vous ne réussissez pas à sortir au bout des 70 minutes imparties, vous aurez profité d’un jeu de qualité.

 

happy-hour-logo

Police Academy de Palamento CityHappy Hour Escape Game

« Vous rêvez d’être diplômé de la prestigieuse Académie de Police de Palamento City ! Vous devez passer votre test final : vous avez une heure pour déjouer les pièges qui vous attendent. »

http://www.happyhourescapegame.com/

En entrant, quand on a comparé avec l’intérieur d’Epsilon, on a un peu déchanté. Ca rendait l’accueil froid et quelque peu impersonnel. On a revêtu nos tenues d’étudiants de dernière année de la Police Academy et après un brief, on est entrés dans le vif de l’action. On a eu du mal à se représenter, dans le décor imposé, où pouvait être la bombe qu’il fallait désamorcer. En fait je crois qu’on a eu du mal à comprendre le décor. Mais les énigmes étaient très ingénieuses, inattendues.

Cet escape game est considéré comme le plus difficile des trois proposés au Happy Hour, et visiblement son design n’est pas son point fort. Ce qui explique dans l’ensemble nos ressentis 🙂

 

(Promis vous ne devriez pas avoir peur dans ce type d’endroits; nous on a juste hurlé notre race quand quelqu’un est venu nous chercher à la fin du jeu. Une bombe ? Des aliénés ? Pardon quoi.)

 

Affaire à suivre !

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